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01. Si je te dis popularité tu me réponds ? :

« bienvenue dans mon monde, tout le monde est à mes pieds. »
« un jour, je serai sur les devants de la scène et tout le monde se prosternera devant moi. »
« Bêtise et idiotie. J'ai pas de temps à perdre avec ces conneries »
« laissez moi tranquille, j'ai rien demandé. Promis, je disparais. »

02. Au niveau de l'échelle social, t'en es où ? :

« tu vois l'étoile qui brille en haut ? C'est moi. »
« Je dirais que je suis entre les pâtes et la pizza. Dans tout les cas, je finirais au dessus de ça. »
« et moi, je te demande si t'as une passion pour les poissons rouge ?»
« euh.. Je suis plutôt le genre de truc qu'on remarque pas.»

03. Plutôt soirée alcoolisée ou soirée télé :

« Les soirées alcoolisé, c'est mon truc. Je suis partout, tout le temps et généralement, c'est même moi qui les organisent. »
« Les incrustes, c'est mon domaine alors, tu peux être sûr que je suis toujours présent. Les soirées télés ? Très peu pour moi. »
« Bordel, mais ça te regarde pas. Tu veux pas mon emploi du temps aussi ?»
« Je dirais télé.. Pour le reste, je suis jamais invité.»

04. Et sinon, ton plat préférée, c'est quoi ? :

« De la salade et de la salade et encore de la salade. Quoi que, de l'herbe parfois.. »
« De la salade devant tout le monde et puis de la pizzas quand personne ne me regarde. »
« Et voilà que tu te prends pour une nutritionniste, tu veux une gifle ou quoi ? »
« Pourquoi ? Si tu me laisses tranquille promis je te donne mon repas.»

Quand on regarde les familles, souvent, on ne voit que l'extérieur. Généralement, tout semble merveilleux, tout semble aller bien pour tous... mais c'est faux. Chaque famille connait ses mauvais moments, ses défauts, ses drames et ses malheurs... Et c'est le même cas pour la tienne. Le soir, ton père partait afin de s'occuper de problèmes budgétaires dans son entreprise, et le lendemain, une nourrice prenait la première place à la maison, ta mère bien trop occupée à travailler sur son futur projet pour l'entreprise familiale. Et voilà comment ta vie commençait désormais, bien au chaud dans ce berceau dont les barreaux suintaient presque l'or, emmitouflé dans ces draps valant sans doute une fortune. Oui, la valeur de l'argent était bien ancrée chez tes parents, jusqu'à en oublier leurs fils qui les aimaient pourtant instinctivement, mais tu crois que, dès que tu as pu ressentir ce manque d'amour en retour, tu t'es détaché de cette valeur et promis que jamais tu n'allais vivre comme eux...


« Seigneur Jésus-Christ, ta Mère était présente au pied de ta croix, et c'était son unique enfant qu'elle perdait... Souviens-toi de sa souffrance et regarde la nôtre : viens avec ta Mère nous donner du courage. Souviens-toi de son espérance et accueille la nôtre : viens avec ta Mère à la rencontre d'Alessandro. Toute la joie qu'Alessandro nous a donnée, découvre-la ! Tous les projets que nous avions formés, rendent-les plus beaux ! Et toutes les peines que nous avons portées, qu'elles soient oubliées ! Car notre amour ne peut vouloir qu'une chose : la vie qu'Alessandro aura eue si courte, qu'elle continue en toi, en Dieu, près de ta Mère... Qu'à sa prière et par ta grâce, nous trouvions la force de vivre, pour un jour nous retrouver tous en toi, avec Alessandro en Dieu, près de ta Mère... Amen ! » Tu regardais ta mère pleurer comme une Madeleine pendant son discours, mais aucune larme ne franchissait la barrière de tes yeux. Tu étais encore sous le choc, tu ne réalisais pas encore que ton double, ta chair, ton sang sois décédé. Oui, Alessandro, ton frère jumeau venait de rendre son dernier souffle il y a quelques jours... Mais que c'est-il passé ?

FLASHBACK
« Fabio, tu fous quoi là ? Ça fait près d'une heure que je t'attends. Encore en train de te regarder dans le miroir ? Tu es beau... Maintenant lets go ! » Ton frère toujours pressé, celui-là. Vous êtes supposé vous rendre à une fête qu'un de vos amis organisait. Mais toi, ayant presque une obsession pour l'image que tu donnais, tu as pris plus de temps que prévus dans la salle de bain et ton frère te faisais bien savoir son mécontentement. Quel impatient celui-là ! « J'arrive, c'est bon. » Tu te mis à descendre les escaliers au pas de course. Après un baiser sur la joue de votre mère, vous vous étiez mis en route vers la destination prévue, sans vous doutez une seconde de ce qu'il allait vous arriver...

Vous marchiez sur le côté de la rue en riant à gorge déployée lorsqu'un crissement de pneus se fit entendre. Ce n'était pas bien grave, tu te disais que ce n'était que des jeunes qui faisaient une course comme la plupart des jeunes de votre âge, alors vous avez tout simplement continué votre route comme si de rien était. Tu parlais de tout et de rien avec ton jumeau et riait de plus belle à ses blagues qui n'étaient aucunement drôles, soit dit en passant. Soudainement, sans que tu ne t'en rendes compte, un coup de fusil résonna dans le calme de la nuit et trois secondes plus tard, un cri de terreur franchi tes lèvres suivies d'un cri de douleur qui ne t'appartenait pas. Ton frère s'écroula sur le sol. Quelqu'un venait de lui tirer dessus. Cela te prit quelques secondes afin de comprendre ce qui venait de se passer. Ton frère couché sur le sol en sang. Qui était l'auteur de ce geste ignoble. Tu t'agenouillas près de lui en criant à l'aide à qui voulait bien l'entendre. « Prend soin de maman... » Ce fut les derniers mots qu'il a prononcés avant de commencer son repos éternel.
FLASHBACK

« Viens Fabio » Tu ne bougeais pas regardant toujours les hommes enfouir sous terre le cercueil de ton jumeau. Il fallut que se soit ton père qui te prenne dans ses bras pour te faire bouger. Il faut tout de même prendre conscience que tu venais de perdre la personne qui était la plus chère à tes yeux. Celle avec qui tu faisais toutes tes conneries, celle avec qui tu avais des projets d'avenir. Bien entendu, ces derniers ne seront plus réalisables désormais. C'est à ce moment-là que tu te décidas réellement sur ton choix de carrière. Tu allais tout faire en ton pouvoir pour envoyé tous ces criminels derrière les barreaux.


Tes parents ne supportaient plus d'être dans cette commune qui leur faisait beaucoup trop pensée à leur second fils. Après maintes discussions, ils décidèrent donc de prendre un nouveau départ, de déplacer l'entreprise familiale à Venise endroit où tu allais pouvoir refaire ta vie, entré dans l'une de ces prestigieuses Université afin de suivre le plan que tu t'étais fait. Tu étais encore bien plus décider à rejoindre les rangs de la police. Depuis la mort de ton frère, il y a de cela quelques mois, tu t'es mis à l'activité physique. Tu te dépensais sans compter pour essayer sans grand résultat à faire ton deuil. Tous les sports extrêmes, ou presque, y ont passé, mais rien ne t'enlevais l'image de ton jumeau, le soir du drame, de ta tête. Pour toi, tout était de ta faute, si tu n'avais pas pris autant de temps dans la salle de bain ce soir-là, vous seriez encore tous les deux, là, à rire et s'amuser comme vous aviez l'habitude de faire. Tu n'allais vraiment pas bien, mais ne le montrait pas, gardant l'image de la personne au dessus de ses affaires. Tu n'aimes pas parler de ta vie personnelle et si une personne finie par te poser des questions sur celle-ci, tu ne sais jamais comment réagir. Ce qui arrive le plus souvent, c'est que tu entre dans une colère noire sans aucune raison apparente. De toute façon depuis que tu es entré à l'Université, aucune personne n'ose se mettre au travers de ta route. Les gens te regardent comme si tu étais leur Dieu et tu dois avouer que tu adores cela. Tu aimes avoir le contrôle, tu aimes faire partie des gens que tout le monde envie, à qui ils voudraient ressembler. Tu n'as pas énormément d'ami puisque la plupart en voulaient que pour ton argent, mais cela ne te déranges guère. Tes véritables amis, tu peux les compter sur tes doigts, mais ceux qui font parti de ta vie, tu ferais n’importe quoi pour eux, les défendre coûte que coûte.


Durant ta première année d'Université, tu t'es presque fait un ennemi, Raffaello di Marzo. Enfin, ce n'est pas vraiment ce qu'on peut qualifier d'ennemi étant donner que vous ne vous donniez même pas la peine de vous adresser la parole, mais, disons que lorsque vous vous parlez, les mots fusaient de tout bord tout côté. di Marzo te traitait littéralement comme de la merde mais tu ne comprenais pas pourquoi il agissait de cette façon. Aujourd'hui, c'est toujours un peu le même cas, malgré le fait qu'il sait adouci. Néanmoins, ton intérêt pour le Sicilien s'est amplifié lorsque ce dernier eut été accepté comme capitaine de l'équipe de football. Tu le cherchais, t'amusais à ses dépens, mais lui t'envoyait toujours et encore plus chier. Ce qui ne fonctionnait pas du tout pour toi. Un genre de jeu s'installa entre vous, vous ne manquiez pas une journée pour vous faire des crasses, mais bizarrement, ça te plaisait bien. Plus le temps passait, plus vous vous trouviez des points communs même si en réalité, vous êtes très différent. Mais comme l'ont dit : les contraires s'attirent et ceux qui se ressemblent s'assemblent. C'est exactement ce qui se passait entre vous. Sans que vous vous en rendiez réellement compte, vous vous êtes reproché à un point tel de presque devenir inséparable à un point tel qu'il devenait presque qu'une obsession pour toi. Pas du genre que tu étais amoureux, non loin de là, mais bien qu'il fût un peu comme ton oxygène. Vous vous entendiez à merveille lorsque vous ne vous criez pas l'un après l'autre. Par contre, cela ne faisait pas du tout l'affaire de l'ancien petit copain de Raffaello, et cela, tu l'as bien compris. Sincèrement, tu te foutais éperdument de lui, mais tu n'étais pas capable de ne pas le provoquer à la moindre minute où di Marzo n'était pas avec vous. Lui, il essayait de rester effacer, de ne pas faire de vague et lorsqu'il essayait de te provoquer à son tour, tu riais de lui. Toutes provocations soit elle venant de lui te passait bien au dessus de la tête.


Parfois, il y a des journées où nous nous ne sommes pas en mesure de comprendre vraiment ce qui se passe. Et bien, il y en a une qui même encore aujourd'hui te surprend. Qu'est-ce qui lui ai passé par la tête ? Comment est-ce possible qu'il est perdu patience ? Tu n'en sais rien. Lui que tu considérais comme étant un coincé de la vie qui n'était même pas capable de se défendre lui-même, venait littéralement de dépasser les bornes. Ce jour-là, tu étais à la cafétéria en train de vanter à qui voulait l'entendre votre match de la veille en ajoutant par le fait même que le capitaine était à son affaire, qu'il s'avait quoi faire pour vous faire gagner et tout à-coup, quelqu'un se fit un plaisir de venir te relancer en t'insultant. Tu ne connaissais pas vraiment cette voix, alors lorsque tu te retournas pour faire face à cet individu. Tu fus surpris de tomber nez à nez sur nul autre que Tomaso qui te menaçait de ne plus jamais toucher à un seul cheveu de di Marzo. Fidèle à ton habitude, tu lui as ri en pleine figure et ce simple rictus fit déborder le vase du métis. Tu reçus un coup-de-poing en pleine face et ce qui devait arriver, arriva. Les coups volaient dans la pièce et un petit regroupement de personne se forma rapidement entre vous. La majorité prenait bien entendu pour toi, comment faire autrement, mais personne ne saura jamais qui de vous deux aurait gagné. Effectivement, puisque Raffaelo arriva rapidement et vous séparant. Il était hors de ses gonds et en profita pour presque crier, voulant comprendre pourquoi vous vous battiez. Bien entendu, personne ne lui dit. Pour une fois que tu n'étais pas en tort, tu aurais bien pu tout raconter, mais n'étant pas une balance, tu te tues, toutefois sans oublier de le fusiller du regard en lui chuchotant à l'oreille que la partie n'était pas terminée.


Pendant les dernières grandes vacances, tu avais décidé de partir en road trip seul pour parcourir l'Italie. N'ayant de comptes à rendre à personne, deux semaines à voyager, avec le strict nécessaire. La grande paix de tout ce qui pouvait se passer dans ta vie. Mais une chose clochait dans ton esprit. Raffaello te manquait beaucoup plus que tu ne le pensais. Tu ne savais pas ce que cela signifiait exactement, mais lorsque tu retournas chez toi, il n'était pas là. Déçu, tu étais enclin à te poser énormément de question. Pourquoi voulais-tu tant être à ses côtés et où était-il ? Que faisait-il ? Avec qui était-il ? N'en pouvant plus de ne penser qu'à lui, tu t'étais dit qu'une bonne nuit de sommeil allait te remettre les idées en place. La nuit porte conseil ! Et bien, ce fut le contraire. Ce n'est pas du tout ce qui arriva. Deux autres semaines passèrent où tu n'arrivais plus à penser à autre chose. Cela t'obsédait. Il fallait faire quelque chose, tu en étais certain. Tu ne promis donc de faire en sorte d'attirer Raffaello dans tes filets, l'avoir pour toi. La journée où le mécheux revint en ville, tu décidas de mettre ton plan en marche. Tu ne savais pas trop ce qu'il en pensait de ton soudain rapprochement, mais il n'avait pas trop l'air de détester... Qu'est-ce qui se passera par la suite ? Tu n'en as pas la moindre idée, tu vis au jour le jour regardant ce que la vie vous réservera. Peut-être est-ce une folie passagère également. Seuls les jours à venir te mettront sur le droit chemin.
 

Félicitation petit guerrier, tu viens tout juste d'être validé par l'un de nos sublimes administrateur et tu peux désormais te balader sur tout le forum et commencer tes RPs.

Mais avant toute chose, voici les liens essentiels à la vie de ton personnage.

_ Obligatoire

† faire ta fiche de liens †

_ Facultatif

† faire ta fiche d'évolution †
† faire parti(e) d'un club †
† créer des scénarios †