Pour cocher la réponse de votre choix il vous suffit de rajouter checked entre "1" et >

01. Si je te dis popularité tu me réponds ? :

« bienvenue dans mon monde, tout le monde est à mes pieds. »
« un jour, je serai sur les devants de la scène et tout le monde se prosternera devant moi. »
« Bêtise et idiotie. J'ai pas de temps à perdre avec ces conneries »
« laissez moi tranquille, j'ai rien demandé. Promis, je disparais. »

02. Au niveau de l'échelle social, t'en es où ? :

« tu vois l'étoile qui brille en haut ? C'est moi. »
« Je dirais que je suis entre les pâtes et la pizza. Dans tout les cas, je finirais au dessus de ça. »
« et moi, je te demande si t'as une passion pour les poissons rouge ?»
« euh.. Je suis plutôt le genre de truc qu'on remarque pas.»

03. Plutôt soirée alcoolisée ou soirée télé :

« Les soirées alcoolisé, c'est mon truc. Je suis partout, tout le temps et généralement, c'est même moi qui les organisent. »
« Les incrustes, c'est mon domaine alors, tu peux être sûr que je suis toujours présent. Les soirées télés ? Très peu pour moi. »
« Bordel, mais ça te regarde pas. Tu veux pas mon emploi du temps aussi ?»
« Je dirais télé.. Pour le reste, je suis jamais invité.»

04. Et sinon, ton plat préférée, c'est quoi ? :

« De la salade et de la salade et encore de la salade. Quoi que, de l'herbe parfois.. »
« De la salade devant tout le monde et puis de la pizzas quand personne ne me regarde. »
« Et voilà que tu te prends pour une nutritionniste, tu veux une gifle ou quoi ? »
« Pourquoi ? Si tu me laisses tranquille promis je te donne mon repas.»

1)  Lennon.

« Une fille. C’est une fille. » Tu es née par un jour ensoleillé de février. Le quatorze, précisément. Le jour de la fête des amoureux, la deuxième fille du couple Hartfields nait, n’est-ce pas romantique ? En tout cas, pour toi, cela ne l’est pas. Lennon Hartfields, qu’on t’appelait à l’époque. Personne ne se risquait à faire la moindre remarque sur ton prénom, personne ne se risquait à te faire la moindre remarque tout court. Si vous allez à Philadelphie et que vous parlez d’une Charlie, personne ne réagira. Si vous y allez, que vous dites que vous connaissez Lennon et que vous êtes son ami, on vous fera un immense sourire tout en vous invitant à dîner. Déjà petite, tu étais très appréciée. Tu avais cette capacité de garder les pieds sur terre même si tes parents pouvaient acheter tout l’état de Pennsylvanie à eux seuls. Tout le monde connaissait James et Vittoria Hartfields tout comme leurs trois enfants. Tu étais la plus douce et compréhensive des trois. Ton petit frère, Ezra, d’un an ton cadet était le stéréotype du gosse de riche. Ta grande sœur, de quatre ans ton aînée ne pensait qu’à se barrer et faire le tour du monde à bord d’une Harley Davidson alors qu’elle n’avait que dix ans. Alors quand tu arrivais, les gens étaient heureux. On se souvient que tu donnais des pièces aux sans domiciles fixes de la ville. Les gens influents savaient qui tu étais ; tout comme bon nombre de personnes. Ton enfance fut particulièrement heureuse et tu étais ravie de la vie que tu menais. Ton père était un milliardaire américain natif de New-York et ta mère était mannequin. Ta maman, justement, avait vu le jour en Italie, à Venise. Toi, tu as toujours adoré l’Italie, au contraire de ton père et de ta sœur. Non, ta sœur ne pensait qu’à la route 66 et aux États-Unis. De toute façon, tu l’as toujours trouvée chiante, celle-là. Tu as toujours pensé que le rapprochement de ton père et des bouteilles de bières était survenu après le divorce mais tu t’es toujours trompé. Néanmoins, ce n’est pas bien important. Il est con, il est con. Point barre. Tu avais six ans, lorsque tes parents te firent descendre dans le salon pour vous parler à toi, Ezra et Kaitlyn. Ta sœur s’appelle Kaitlyn, au passage. « Les enfants, je veux que vous sachiez que Papa et moi on vous aime de tout notre cœur et que ce qui va se produire n’est en aucun cas de votre faute. Néanmoins, et j’en suis désolée, les conséquences vont se répercuter sur vous aussi. Votre Papa et moi nous avons pris la décision de divorcer. Je vais donc aller retourner vivre en Italie alors que lui déménagera à Los Angeles, pour son travail… Ezra, mon bébé, ne pleure-pas, s’il te plait… Allez, viens-là, maman est là… Lennon, ma petite puce, ne t’y mets pas aussi sinon je vais pleurer avec vous… » Seule Kait’ n’avait rien dit. Tu avais sept ou huit ans à l’époque, tu ne te souviens plus exactement. Tu n’as même plus envie de te souvenir. Et quand tes parents te demandèrent si tu allais en Italie ou aux Etats-Unis, tu pleuras pendant longtemps pour par la suite dire : « Je… Je vais avec maman. Je pars à Venise. » Kait’ restait avec ton père tandis que toi, Ezra et Vittoria vous preniez l’avion direction Venise.

2) Charlie.

Aaah, Venise ! Même si ton cœur restera à tout jamais à Philadelphie, tu as toujours adoré cette ville italienne. Jamais tu n’as regretté ta décision de partir avec ta mère et de laisser ton père et ta sœur. De toute manière, ta sœur partait en cacahuète et tu appris qu’à quatorze ans, elle finit à l’hôpital à la suite d’une soirée un peu (beaucoup) trop alcoolisé. Elle en ressortit, bien sûr mais recommença les mêmes conneries. Tes parents avaient omis de te le dire mais à seize ans, elle passa par la case prison. Si tu venais à apprendre qu’elle se droguait tu en aurais été en aucun cas étonné. Pour ce qui est de ton père, disons que lui et Kaitlyn faisaient bien la paire au niveau bouteille d’alcool. Il avait arrêté de travailler quelques années après le divorce, de ce que tu avais compris. C’était James qui avait choisi ton premier prénom et Vittoria ton second. Alors quand tu demandas à ta mère si, en Italie, tout le monde pouvait oublier Lennon pour Charlie, elle répondit par l’affirmative. Abandonnant sa carrière de mannequin pour devenir styliste et travailler un peu plus chez elle, elle apprit à ses deux enfants l’italien. Même si elle avait déjà commencé à le faire à Philadelphie. L’américain avait beau être ta langue maternelle, tu trouvais l’italien superbe. Et à tes douze ans, tu étais parfaitement bilingue. Entre temps, maman fit un peu l’école à la maison, histoire de ne pas vous perdre avec des cours seulement en italien. Certes, elle aurait pu trouver une école anglaise mais elle n’en avait pas envie. Le caractère de ton frère changea avec les années et il devint un peu comme toi plus jeune : souriant et chaleureux. Toi aussi tu changeas ; dans ta famille tu restais gentille et ouverte mais au dehors, tu commençais à faire la folle. Ton physique te sauva sans aucun doute car quelques années plus tard, quand Vittoria décida de vous inscrire, toi et Ezra, dans un institut italien, tu attiras les regards. Tu étais belle, tu n’étais pas un pot de peinture, tu étais bien foutue, tu étais riche, tu étais folle, tu avais d’excellentes notes et tu étais gentille. L’un dans l’autre, tu te fis une place parmi l’élite. Immédiatement considérée comme ‘l’Américaine’, tu appris bien des choses et réussis à faire partir toute trace de mauvaise idée de toi. Ezra aussi était extrêmement populaire, les Hartfields se firent une place majeure dans l’établissement où ils étaient. « Les enfants, vous allez aller à Bradley… » leur annonça un jour leur mère. Ta réaction ? « Késséssé, ça ? » Si pour toi c’était une bonne idée, ton frère était un peu plus mitigé. Néanmoins il accepta. Ça ne se voit peut-être pas, comme ça, mais lui et toi vous avez toujours été extrêmement proche et vous vous êtes toujours tout confié. Tu entras au lycée de Bradley, te fis une place dans l’élite, découvris le club photo, découvris ta passion pour la photo, pris des photos à ne plus savoir quoi en faire, rencontras Matteo, tombas amoureuse de Matteo, sortis avec Matteo, rencontras ta meilleure amie, parlas de pandas avec elle. Ta passion pour la photo, parlons-en. Enfin, arrêtez de lire si vous en avez marre mais ne me coupez pas sur ma lancée. S’il-vous-plait-merci. Lorsque tu découvris le club photo, tu en tombas autant amoureuse que de Matteo. Ou presque. Parce Matteo c’était quand même l’amour de ta vie, ta première fois et… Bref, tu l’aimais, tu l’aimes et tu l’aimeras. Au pire, vous avez bien saisi le truc. Mais la photo, c’est ton moyen de te libérer lorsque tu as envie de pleurer. Si tu as choisi de faire des études de journalisme, c’est parce que la photo peut servir dedans. C’est ta liberté, ton moyen d’immortaliser les sentiments qui te traversent. Tu aimes ça et tu peux difficilement vivre sans. D’ailleurs, tu as un appareil photo de compèt’ que t’as offert ta môman. Aujourd’hui tu as dix-neuf ans – enfin c’est pas aujourd’hui ton anniv’, qu’on se le dise – et ta mère a reçu un appel de ton père qui veut que Kait’ ramène ses fesses à Venise. Mais il était soul au téléphone. Et toi ça te fait peur. Alors quand tu es toute seule, tu pleures encore et encore. Ezra est au courant, Ezra sait tout. Sans lui tu n’es rien et c’est peu de le dire. Peut-être qu’il faudrait que tu le dises à Calli’, c’est quand même la deuxième meuf que tu aimes le plus au monde derrière ta maman. Calli’, c’est ta vie quoi. Ta meilleure amie. Mais tu n’as pas envie de l’encombrer avec ça. « Je dirais que tout va bien, Ezra. Que j’étais fatiguée, que j’ai mal dormi. Je plaquerai un beau sourire sur mon visage et tout le monde n’y verra que du feu. Je m’inquiète seulement pour papa et Kait’, si jamais elle vient ici, on est foutu… »

Félicitation petit guerrier, tu viens tout juste d'être validé par l'un de nos sublimes administrateur et tu peux désormais te balader sur tout le forum et commencer tes RPs.

Mais avant toute chose, voici les liens essentiels à la vie de ton personnage.

_ Obligatoire

† faire ta fiche de liens †

_ Facultatif

† faire ta fiche d'évolution †
† faire parti(e) d'un club †
† créer des scénarios †